Lara a deux ans quand une diva russe lui prédit un avenir de chanteuse, ayant entendu sa voix retentir de manière tout à fait impromptue dans l'église lors d'un mariage... Plus tard la jeune Montréalaise étudie la danse, la musique, le mime, puis opte pour le théâtre, se destinant à une carrière de comédienne. C'est comme serveuse au Café Sarajevo à Montréal qu’elle chante pour la première fois en public, en cassant des assiettes derrière le bar.
Esclave de sa fougue pour les mots et la musique, Lara Hurni-Brown plonge dans la chanson. En 2004, finaliste-interprète au Festival International de la Chanson de Granby, elle décroche le Prix du public et le prix Coup de coeur de la fête nationale.
Remportant ensuite le concours Mon accès à la scène, Lara se met à composer paroles et musique et crée des chansons influencées par le jazz et la musique du monde. Elle lance Kabaret Montréal en 2006, un premier album auto-produit qui lui permet de donner plus de quatre-vingt-dix spectacles, d'être régulièrement diffusée et de donner plusieurs entrevues à la radio et à la télévision (Espace musique, Radio-Canada, Radio-Suisse Romande, CIBL, Belle et Bum, etc).
En 2006, 2008 et 2010, Lara enflamme le coeur des Helvètes au Festival Pully-Lavaux à l'heure du Québec en Suisse. On lui décerne le Prix Guy-Bel Révélation 2006 et Interprète féminin 2008. En 2010, en plus du festival Pully-Québec, elle chante au Caveau du coeur d'or (Chexbres) et au Festival Chenevières-sur-scène en Suisse.
Anticipant un deuxième album, la rousse emprunte une voie plus personnelle, alliant une touche jazz et rock acoustique. Le mini-album Petit coeur assassin, soutenu par Musicaction et le Conseil des arts et des lettres du Québec, est lancé en 2009. Chaudement accueilli par la critique et les médias, ce mini laisse présager un bel avenir au deuxième album.
En 2010, sa plume maniaque qui s'acharne sur les chansons du prochain album est lauréate du deuxième prix au concours national de paroliers Chanson pour tes yeux, avec son texte La pieuvre, une ôde aux manipulateurs de ce monde. En 2011, elle est lauréate du 3ème prix du même concours avec sa chanson Zanzibar, qui est le 1er extrait de son prochain album.
Sous nouveau nom d'étoile LARA BROWN lance son deuxième album éponyme en avril 2012, co-réalisé par Erik West-Millette et Olaf Gundel. La chanteuse Québécoise de père suisse et de mère néo-zélandaise révèle un univers personnel par des arrangements mettant en lumière une pop sensuelle et originale.
Alliage magnétique rétro-moderne de chansons électro-pop, cet éponyme mêle acoustique et électrique, sonorités jazz, rock et classiques. Composé de balades douces-amères, de chansons «groovy» et d'une reprise de Gainsbourg, Lara Brown subjugue le public par son petit côté glamour déjanté. Ses chansons dégagent une poésie sulfureuse, une touche «vintage» via des guitare Morricone, des claviers sombres, du bruitage électro. L'album a une très belle réception auprès des médias et de la critique et plusieurs pièces sont en rotation forte sur Espace Musique, la chaine musicale de Radio-Canada.
WWW.LARA-BROWN.COM