Pour la création de son nouveau spectacle « Ghost Track », Charlotte Parfois se mue en Charlotte Peut-être.
Charlotte Peut-être pour marquer une parenthèse, un écart artistique.
Charlotte s'autorise sous ce nouveau nom une certaine noirceur, une certaine froideur. Un spectacle et un album différents, des morceaux qui frappent au coeur et au corps, flirtant avec le « synthétique » . Le tout fait l'effet d'un feu incandescent sur un lac gelé.
Le spectacle Ghost Track est composé d'un répertoire totalement inédit, un changement d'attitude. Chansons fantômes, masque, voix off en guise de fil conducteur, un univers qui se veut étourdissant et mystérieux.
A la base, ce projet a germé dans la tête de leur chanteur qui souhaitait secrètement emmener le groupe là où il n'aurait pas été de manière naturelle.
Pour ce faire, il s'est tourné vers le « metteur en son » David Weber, l'homme à tout faire du Studio des Forces Motrices à Genève. Le duo qui pouvait sembler improbable a fonctionné à merveille.
De cette collaboration est donc né « Ghost Track », véritable pavé dans la mare du paysage musical actuel.
La face sombre de Charlotte qui cette fois a privilégié, osé l'homogénéïté sans courir après le consensus de la chanson « plaisante ».