Un homme seul, les pieds dans le vide. En guise de discours, l’homme prend sa guitare et se met à chanter. A intervalle régulier, comme sortis d’un rêve, des choristes et un musicien apparaissent aux fenêtres. Tout le monde chante et danse, on se croirait au milieu d’un film de Woody Allen ou de Jacques Demy. Merveilleux et burlesque, solitaire et nombreux, Jerrycan fait ici son autoportrait en chansons.

“Surréaliste ... inqualifiable ... mais tellement vrai et sensible !” (paroles de spectateur)

Avec Djulia, Fleur, Véronica, Muriel, Elena & Germain Umdenstock

Printemps Carougeois, Carouge, Place de Sardaigne
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